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 jane a. volturi _ a nightmare street { 100 %

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Jane Volturi
Jane Volturi




Féminin MESSAGES : 2
TON ÂME SOEUR : Tu m'as bien vu ?
COPYRIGHT : avatar : Choukette icone : Mushu

TALK ME.
je veux ça, maintenant:
je le connais depuis ce temps-là:

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MessageSujet: jane a. volturi _ a nightmare street { 100 %   jane a. volturi _ a nightmare street { 100 % EmptyMar 29 Déc - 18:58

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jane a. volturi _ a nightmare street { 100 % 744915img_183335lm8ye
Misery Mind
Jane Annalisa Volturi

387 ans réel ♣️ Vampire carnivores
♣️ née le 22 février à Venise
♣️ italienne
♣️ feat. Dakota Fanning

je suis et je resterais :
Jane est une petite fille depuis plus de trois cents ans, vous vos doutez bien qu’elle a eu le temps de perdre l’insouciance, la tendresse, le besoin d’amour, et l’innocent sourire qui font le lot des gamines de 13 ans, ce n’est plus avec une poupée qu’elle joue - d’ailleurs, elle n’a jamais vraiment jouer avec une poupée, la seule qu’elle a eue, elle lui a arrachée la tête parce qu’elle la trouvait mieux sans … - mais avec les humains. Elle est assez têtue et déteste être contredite. Il lui arrive souvent d’exploser, comme si elle accumuler la colère et qu’à un moment donner, tout voudrait sortir. Dans ces moment-là, seul Alec peut l’aider, car il est le seule à arriver à la canaliser, ce n’est arrivait qu’une seule fois, qu’Alec soit impuissant face à la folie de sa sœur. Car il faut dire que son sadisme peut vite passer pour de l’hystérie. La violence avec laquelle elle aime tuer ses victimes peut effrayer même certains vampires. Le plaisir qu’elle en tire est facilement explicable. Le jour où elle a été brûlé, la souffrance de ses brûlures n’a fait qu’accroître son don, et par la même occasion, sa haine envers les humains. L’idée de se nourrir de sang animal ne lui ai jamais venu à l’esprit, et elle ne compte pas s’abaisser au niveau des Cullen, qu’elle méprisent plus que tout. En réalité, Jane est surement un des vampires le plus sadiques parmi les rangs des trois frères. Depuis qu’elle occupe une bonne place au sein de son clan, elle ne supporte plus qu’on lui désobéisse et gare à celui qui essayerai quand même ! Il est vrai que parfois suivre les ordres d’une enfant peut être frustrant mais si un de subordonnés à le malheur de ne pas faire ce qu’elle lui demande, alors il se doute bien de ce qui l’attend. Suis-je obliger de préciser qu’elle est plus que têtue et bornée, quand elle veut quelque chose, elle l’obtient, sa volonté est sans égale, si elle vous dit non, elle ne dira pas oui, même cinquante ans plus tard. Elle assez rare qu’elle ne dise pas la vérité, mais il lui arrive fréquemment de ne pas tout dire, de cacher la vérité, ce n’est pas du mensonge, elle ne dit pas tout, point final. Elle a ses raisons. Si vous souhaitez être réconforté, ce n’est absolument pas elle que vous devrez allez voir. La seule personne avec qui elle peut être un tant soit peu affectueuse est son frère, Alec. Même si elle considère Aro comme son père, elle aurait du mal à le montrer à un personne aussi importante que son Père spirituel. Elle apprécie le peu de moments de complicités qu'elle arrive à avoir avec Alec, car ils sont souvents séparés par leur obligation pour la famille Volturi.


Derrière ses airs d’ange et son visage enfantin, se cache un démon blond au sourire enjôleur assez effrayant. Tout comme l’intégrale des créatures de la nuit, Jane est d’une beauté surréaliste, elle est comme une Aphrodite, enfin, c’est un euphémisme. Jane comme tous ses confrères vampires a le teint pâle, couleur craie, même un peu plus pâle que ses congénères et des traits dessinés dans la perfection même. Sa peau est de marbre, son corps est aussi dur et froid que la pierre tout comme elle d‘ailleurs. De petite taille, malgré ses trois cents quatre-vingt sept ans, elle a gardé l’apparence d’une jeune adolescente de treize ou quatorze ans, âge à lequel elle a été mordu par Aro. Contrairement aux cheveux presque noirs de son frère, les siens sont d’un blond foncé qui contraste avec ses yeux de tueuse. Oubliez les yeux emplie d’insouciance, de tendresse et d’innocence que vous imaginiez allez avec son visage de bambin sage, remplacer par des iris aussi profond que les abîmes qui se dégrade du cramoisi au rouge pâle suivant sa soif. Ils peuvent être doux, presque adorable lorsqu’elle est de bonne humeur ou dur et sévère quand elle ne l’est pas. Mais la plupart du temps, ses yeux pétillent, surtout quand elle sait qu’elle va devoir torturer quelqu’un. Assez mince, elle est plutôt svelte et profite de son corps pour s’habiller de couleur vive, du rouge ou du noir. Mais ses vêtements restent assez invisibles, car elle se promène souvent avec une cape sur le dos. Elle a de longs doigts fin et des ongles impeccables. Son nez aquilin est fin, remontant légèrement au bout mais qui frémit adorablement lorsqu’elle est contrariée. Ses lèvres sont pulpeuses et rosées, avec une jolie forme bien définie. Sa démarche est féline et pleine de grâce.

    je suis né, j'ai vécu, je suis devenu :
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Il y a parfois des chose qu’il faut mieux oublier pour son propre bien, pour le bien de ceux que l’on aime. Il y a parfois des choses qu’il ne vaut mieux pas remuer. Ce genre de souvenirs si douloureux, si brutal qu’ils nous ramènent à la réalité sans nous avoir laisser le temps de rêver un peu. Le genre de souvenir que je ne possède plus. Je suis sûr que tous les traîtres à notre race qui se souviennent de ce qu’ils étaient avant doivent regretter. Mais comme le dirait Maître Aro, nous ne devons pas vivre dans le passé, nous qui avons l’éternité à nos pieds.

Tout commence donc en 1622 quand je viens au monde, deuxième après mon frère jumeau, Alec. Nos naissances à quelques heures d’intervalle furent douloureuses et bruyantes. Nous aurions eu besoin de l’affection d’un père et d’une mère. Malheureusement, ou heureusement, ces deux personnes n’ont jamais existés pour nous. A peine venue au monde, nous étions déjà orphelin. Laisser à un orphelinat où l’affection ne semblait pas être de rigueur, Alec et moi avons du forger notre caractère avant même de prononcer nos premiers mots ou d’avoir fait nos premiers pas. La seule chose que nous recevions - en veux-tu ? En voilà !- sont les punitions, parfois injustes et cruelles. Si nous voulions survivre, il fallait nous battre dès les premières embrouilles aux risques de passer pour des faibles et de nous faire marcher dessus à longueur de journée ! Alors qu’Alec à peine enfant commencer à se battre physiquement, j’utilisais des techniques bien moins orthodoxes mais qui blessaient là où ça fait mal, la fierté d’un homme est quelque chose d’unique et qui déteste prendre des coups.

Les sanctions pouvaient être bénignes mais tout aussi bien violente et traumatisante. Du simple coup de règle sur les doigts aux sévères coup de fouet, je peux juste dire que j’en ai vu de toute les couleurs. Alec aussi. Chaque fois qu’il essayait de me protéger, moi la fragile humaine pathétique, il en payait les conséquences et était sévèrement puni également. Je pense que ce passage de nos vies nous a encore plus rapprochés. Chaque épisode que nous avons traversés nous a lié pour une durée immortelle. Nous ne pouvions compter que sur nous-mêmes. L’époque était dure à vivre. Souvent la faim tiraillait nos entrailles punies pour insolence. Le fait d’avoir souffert sans raison pendant des années doit surement expliquer le fait que nous aimions voir souffrir ceux qui le mérite …

La roue de la fortune semble tourner quand nous atteignons nos six ans. Du moins, c’est-ce que je me souviens avoir pensé au moment même ou l’affreuse bonne sœur qui tenait l’orphelinat nous a annoncé à mon frère et moi que par manque de place nous allions être transférés sur le continent, à Salem. La ville aux milles et unes sorcière … Je ne vous raconte même pas la joie intense qui nous a tous deux habités à peine ses lèvres de nouveau scellées. À peine débarqué, nous redevions nous faire une place pour ne pas être écrasés par les dominants. Nous n’avons jamais été des dominés. Ce qui explique le fait que nous avions réussis à nous faire un nom dans la petite ville. Petit à petit. Je ne dis pas que d’un coup en nous voyant arrivé, la vie à été meilleur. Non, nous avons reçu des dizaines de coups et donnés des dizaines d’autres. Nous avons fini des dizaines de fois la tête la première dans les poubelles, nous avons échoué plus d’une fois. Mais nous n’avons jamais abandonné.
Le temps passe, tout comme les années, et tout comme chaque vermine humaine, nous vieillissons petit à petit. Nos distractions changent. Alors que je continue de me battre pour ma survie, pour notre survie, Alec s’intéresse plus à sa connaissance qu’au reste. Il commence à écumer les rues à la recherche d’ouvrages qu’ils pourraient dévorés. Quand l’un de ses dieux de papier croisait mon chemin, il m’arrivait de le ramasser afin de faire plaisir à ma moitié. De mon côté, je continuais mes activités illicites comme disait mon cher jumeau. Un peu de trafics d’une côté, de la haine et de la violence à semer de l’autre …

Cet éloignement du côté de nos distractions n’en était pas vraiment un. Il m’arrivait très fréquemment de le regarder lire et lui me suivait aussi dans mes longues promenades en ville. Mon frère m’a toujours défendu, aussi loin que je me souvienne. À l’époque, je pensais qu’en continuant à nous faire respecter, qu’en achevant le travail que nous avions commencer ensemble dans les rues, j’assurerais notre sécurité pendant quelques temps.

J’avais treize ans quand les choses s’envenimèrent. Ce fut la seule fois où Alec ne réussit pas à me calmer. Lui qui arrivait d’un simple geste à m’apaiser eue toute les peines du monde à réussir à me ramener à notre repaire. Ce jour-là, ma colère explosa contre un dénommé Mikelangelo. Je venais juste de le mettre à terre quand Alec arriva en courant. Il me souleva et m’éloigné de lui, essayant par tout les moyens de me calmer, m’attrapant la tête entre ses mains, il me supplia de ne pas continuer. Mais la rage coulait en moi. L’impulsivité dont je fis preuve m’étonnera toujours. Je me jetai sur l’enfant qui n’eut pas le temps de comprendre. Je continuais de frapper, encore et encore. Jusqu’à que mes mains furent meurtris par la douleur. Alec restait en retrait, paniqué, ne sachant que faire. Il essaya de me rattraper avant que ne déferle la deuxième vague. Mais j’eus ce jour-là l’impression que toute l colère que j’avais accumulé pendant ses treize années essayait de sortir en même temps. J’avoue que ce jour-là, je n’avais rien d’humain dans mes intentions. Finalement, épuisé, je laissais Alec m’attrapait doucement et le serrais contre lui. Mikelangelo était au sol, vaincus par mes coups. Il appelait sa mère, son père, Dieu, le prêtre. Il hurlait que j’étais diabolique …

La sentence fut donné seulement quelque heures après, à l’époque, la chasse aux sorcières battait son fort et on donnait une grande importance à ce genre de discussions. Nous fûmes condamner à mourir brûler vif, à être tuer par le bucher. L’aube arriva plus rapidement que jamais. Nous sommes sortis de notre cachot à six heures pile. Des dizaines d’habitants de la région étaient venu assister au spectacle réjouissant que semblait être notre mort inévitable. Quand le feu se forma, je regardai Alec une dernière fois. Je voulais que son visage soit la dernière chose dont je me souviennes. Les flammes vides commencèrent à lécher chaque partie de mon corps. Mais je ne voulais pas hurler. Je ne voulais pas leur faire ce plaisir. Je me sentais juste partir. Chaque parcelle de mon enveloppe corporelle réclamer pénitence. Quelques secondes avant que je ne rends mon dernier souffle devant la foule, un hurlement s’échappa de l‘assemblée, puis un deuxième et finalement se fut toute l’assistance qui mourut dans d‘atroces souffrances. Une forme noire s’approchait d’Alec et alors que j’allais lui hurler de ne pas l’approcher, je sentis un brulure vive dans mon coup.

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Ce fut pire que de mourir brûler vif. J’avais été condamner aux Enfers et j’y était. Je n’avais pas réussit à protéger Alec et j’étais punie par les forces supérieures. Un hurlement de souffrance m’échappa. Cette fois-ci, seul les démons des Abîmes pouvaient m’entendre, je laissais donc mes cordes vocales exprimaient ma douleur. J’avais échoué. J’avais perdu Alec. L’enfer me paraissait délicieux, même cette brulure incessante qui se répandait en moi par rapport à la souffrance que je ressentais à l‘ancien emplacement de mon cœur. J ‘avais perdu ma moitié. J’étais seule. Il était seul, où qu’il soit. Il devait m’en vouloir. Mais bizarrement, la souffrance que je ressentais s’estompa. Je sentis une main sur ma joue. Je ne voulais pas encore ouvrir les yeux, par peur de se que je ne verrais plus. Finalement, une voix aussi douce que le chant d’un rossignol m’invita à ouvrir les yeux. Si mon cœur aurait encore battu, il aurait fait des bonds. Alec était vivant.

Je me raidis, pétrifiée d’effroi à l’idée que ce ne soit un piège des démons. Si il voulait me faire souffrir, l’image d’Alec était un point faible.
    v o i x m y s t e r e _ Jane, ouvre les yeux s’il te plait.

Elle était douce, elle était confiante, mais elle paraissait aussi effrayée. J’ouvris finalement les yeux doucement. Alec était à côté de moi, il était aussi pâle que la mort. C’est traits avaient changer, il était magnifiques. Je l’observais, prenant conscience de chacun de ses changements. Ses yeux me troublèrent, ils n’étaient plus de ce vert rassurant, ils étaient rouge, d’un rouge sang que je trouvais assez effrayant à l‘époque. Derrière nous, un homme observait la scène. Au moment même, je voulut le tuer pour avoir oser faire du mal à mon frère, car je supposais que lui aussi s’était consumé sur lui-même. Aro m’invita à essayer. Sa confiance en lui me pétrifia. Il était comme lui, comme moi, comme nous, ses yeux étaient d’un rouge bordeaux exaltants, il paraissait si jeune et si vieux en même temps. Ses traits s’étaient figés dans son corps mais ses yeux débordaient de sagesse. Son discours me donna des frissons.

Sa doux ténor énonça un par un les particularités et les avantages de ce que nous étions devenus mon frère et moi. Il continuait de parler de nous expliquer, le temps semblait s’arrêtait en moi. Je le fixais incrédule. Alors, maintenant que nous avions été condamné pour quelque chose que nous n’étions pas, nous devenions ses démons que les mortels chassait ? Ma soif de savoir fut accrue durant les heures qui suivirent et je ne pu m’empêcher de poser tout les questions qui me passaient par la tête. Alec souriait naïvement derrière moi, mais je savais qu’il écoutait attentivement chacune de ses paroles. Puis, quand le silence retomba, je pu enfin me concentrer sur mes nouveaux pouvoirs. C’est à ce moment-précis que je ressentis la même brûlure que celle de ma transformation dans le fond de ma gorge. Aro nous souria et nous ordonna de ne pas bouger.

Quelques minutes plus tard, quand il revint, il avait amené avec lui deux humains. Et c’est à la seconde où il les posa sur le sol humide que je me rendis réellement compte de ce que j’étais devenu. Mon sourire s’éleva et le vampire en moi se nourrit pendant de longues secondes. Maintenant, à Volterra, les choses sont semblables à celle de ses 350 ans dernières années. La seule différence est la découverte de mon don et de celui d’Alec dans nos jeunes années d’immortelles.

Récemment, une famille de végétariens à fait remuer notre quotidien, les Cullen's. Une humaine était en couple avec l'un des leurs et par la même occasion été au courant de notre existence. Quand Aro s'est rendu compte qu'Isabella résistait à mon don, il a décidé de la laisser partir à condition que l'humaine soit transformer. Chose qui fut faite, non pas comme leur voyante l'avait vu. Avant d'être transformer, elle mit au monde une créature mi-humaine, mi vampire que maître Aro a décidé de retenir dans les murs de la cité.

    un petit questionnaire pour en savoir plus sur toi :
Tu es plutôt pour ou contre les bonnes causes ? Il n'y a pas de bonne et de mauvaise cause, il n'y a que des avis, des choix et des crétins qui les proclame. Seule la loi est juste. Seul nos lois méritent d'être respecté.
Tu penses quoi de Forks et ses environs ? Ce n'est que l'entre de végétariens puant et de cabot mouillés !
Qu'es-ce que tu aimes le plus dans les hamburgers ? Est-ce que j'ai une tête à manger des hamburgers ...
Un T-shirt violet imprimé avec un slogan ou plutôt décolleté uni et flashant ? Aucun des deux, ma tenue reflète mon état d'esprit
Un petit mot pour la fin ou tu préfères t'abstenir de nous cracher des jurons ? Je n'ajouterais rien ...

    derrière l'écran, l'ange ou le démon :

Ton pseudonyme ou prénom : Vulthaz feat Mélanie
Ton temps de connexion : je dirais une heure par jour
La façon dont tu as connu PULSATION : demande de partenariat =)
Le mot de passe que nous attendons pour te valider : Where is a daughter of Isabella and Edward
Un exemple de RP :
Spoiler:
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MessageSujet: Re: jane a. volturi _ a nightmare street { 100 %   jane a. volturi _ a nightmare street { 100 % EmptySam 9 Jan - 14:43

Bonjour, vous pouvez supprimer mon compte. Il semblerait que votre forum soit mort, dommage :S
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