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 « My real time is you. » Taken.

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Emeric Dixwayne
Emeric Dixwayne

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MessageSujet: « My real time is you. » Taken.   « My real time is you. »  Taken. EmptyDim 13 Déc - 14:28

« L'éternité. Entre don et malédiction. »


« My real time is you. »  Taken. 68zbm8 « My real time is you. »  Taken. Icon2paul-1
(c) love divin & emma


Lorsque l'éternité s'offre à vous, la notion du temps ne fait que disparaître au fur et à mesure. Les mois vous paraissent des heures, et les années des jours. Tout ce qui est mortel et que vous avez pu aimer s'efface subitement, sans que vous ne vous en rendiez compte. C'est là, qu'on le ressent. Ce vide, ce creux, cette déchirance. Cet abandon soudain qui fait de vous un être faible, fragile et délicat. Qui vous oblige à devenir dépendant d'une force supérieure à la votre, et donc qui vous efface progressivement. A n'être trop longtemps que l'ombre d'une personne, on finit par réellement le devenir. Une silhouette futile et furtive, se glissant entre les quatre murs de sa prison dorée. C'était cela, que redoutait Emeric Dixwayne. Disparaître, et n'être plus au yeux du monde qu'un souvenir, quelque chose de vague. Se laissait briser à tel point qu'il ne s'en relèverait plus, et qu'il demeurerait vaincu sur le sol, tel un pantin désarticulé.

Telles étaient les pensées du bel hybride en ce début de soirée d'une fraîcheur annonciatrice de l'hiver. Le vent du nord venait lui caresser le visage de sa langue glaciale, sans pour autant que la peau ne frémisse à ce contact. Les traits du visage étaient tendus, contractés. Comme lorsqu'il se perd dans des réflexions d'une complexité sans commun, l'esprit préoccupé. On aurait pu le prendre pour une statue si sa poitrine ne se soulevait pas délicatement au fil de sa respiration. Une poitrine où bat un coeur, mais où circule un sang de monstre. Ce n'était pas la première fois qu'il utilisait ce terme pour se désigner. Comment pouvait-on appeler autrement un fils qui donne la mort à sa mère dès la naissance? Qui, en venant au monde, la détruit de l'intérieur au lieu de la laisser goûter au plaisir délicieux que d'être parent. Rien n'y ferait, son opinion de lui-même ne changerait pas. Depuis le début - c'est à dire cinq ans - il avait apprit à s'aimer et se répugner à la fois. S'aimer pour ce qu'il était devenu malgré les aléas de la vie et se répugner pour ce qu'il demeurait depuis le début, malgré tout.
L'horloge près de laquelle il méditait le tira de ses pensées. Un" BONG" bruyant le fit lever ses yeux d'un brun foncé vers le ciel, une lueur de méprise illuminant son regard. Vingt-deux heures. Une heure de plus ou une de moins après tout, quelle importance? Il résidait à Volterra depuis plus de trois ans à présent. Ce n'était plus les heures qui le préoccupaient, ni encore moins les mois. Sa rancune envers Demetri était réelle. Tout était en partie de sa faute s'il se retrouvait coincé ici, en Italie. Le monde réserve pourtant tellement de choses aux ambitieux... Dire qu'il aurait déjà pu faire le tour du monde, et découvrir ainsi la présence de d'autres vampires, voir de d'autres créatures. Ses projets tombaient à l'eau. Ils tombaient à l'eau d'autant plus quà présent, Nessie était là. Et partir aussi loin - et aussi longtemps - sans sa présence à ses côtés ne lui paraissaient guère avantageux. Puis, Emeric n'aurait jamais prit le risque de laisser la route libre à ce Jacob Black. Un sac à puces, rien de plus. A l'énonciation de ce nom, son sang ne faisait qu'un tour, et les mauvaises habitudes de rue reprennaient le dessus. Jamais il ne laisserait un cabot prendre la place pour laquelle il mettait tant d'ardeur, de volonté. Ce Jacob n'aura jamais idée de ce qu'ils auront pu vivre... Puis, si l'amour qu'il avait pour la belle hybride était aussi sincère et fort, où était-il? Ne serait-il déjà pas aux portes de Volterra, à tout tenter pour la sauver? Tant d'incompréhension dans le comportement du loup garou. Et tant de satisfaction à l'idée qu'ici, il n'y a qu'eux deux. Rien que lui et elle.

Des pas arrivant dans sa direction attirèrent son attention. Sa silhouette d'athlète se leva lentement, n'arrivant pas à se défaire de cet instinct de méfiance que le picotait sans cesse. Son beau visage scruta l'obscurité pour ne voir en sortir que deux gardes en ronde de nuit. La déception pinca le coin de ses lèvres, tandis qu'il leur tournait le dos d'un mouvement sec. Une autre silhouette se présenta alors à nouveau à son regard. Regard qui s'embrasa en même temps que les battements de son coeur. Elle était là. Juste en face de lui. Emeric resta néanmoins maître de ses émotions, et adressa à l'égard de la nouvelle venue un sourire d'une grande tendresse, comme à l'accoutumée.

« Nessie. Tout va bien? »


Dernière édition par Emeric Dixwayne le Dim 13 Déc - 17:56, édité 4 fois
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Renesmée C. Cullen
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MessageSujet: Re: « My real time is you. » Taken.   « My real time is you. »  Taken. EmptyDim 13 Déc - 17:31

Le temps est long quand l'éternité est là, à la porte de ta vie. Si j'avais sue qu'en devenant la jeune fille que je suis, je deviendrais une de ses personnes qui ne meurt jamais. Pas un vampire non, pire que cela, je suis une hybride. Et si mon coeur ne battait pas en ce moment, je me demanderais pourquoi moi, Renesmée, j'ai due quitter mes parents mais quel en ai la cause ? Tant de questions dont je n'ai pas encore les réponses. Les Volturi sont des gens malsains qui ne pensent qu'à faire souffrir les humains en se nourrissant d'eux. Oui, j'ai assisté à plusieurs massacres mais de loin. Il m'est impossible de penser que les vampires sont ainsi, non mes parents ne sont pas ainsi, ma famille n'est pas meurtrière.

Je courais à travers la forêt qui me semblait soudain familière. Qu'était-ce que ce bruissement derrière moi ? Un cri perçant retentit me donnant des frissons dans le corps. J'inspirais profondément et reprenais ma course, tel une biche fuyant son chasseur. J'avais peur. Où était Emeric ? Et Jake ? Maman et Papa ? J'étais seule contre eux tous, ils étaient au grand complet. Leurs yeux rouges me transperçaient lentement alors que mes tremblements redoublaient d'intensité. NON! Il fallait que cela cesse, soit je mourais, soit je restais en leur compagnie pendant cette éternité qui paraissait si longue à mes yeux. Ils tentèrent de m'attraper, en vain car j'évitais leur attaque mais cette fois, Alec et Demetri s'y mirent à deux et je ne pus échapper à leur doigts ferment me tenant par les bras. Aro s'approchait de moi, posant ses mains sur mes tempes. Non pas ça... Pitié... pire mais pas ça... quatre.trois.deux.un.
    i said « nooooooooooooooooooooooooon. »
Je me réveillais en sueur, froide, pleine de peur dans mon corps ainsi que des tremblements incessant. Encore ce satané cauchemar qui m'envahissait chaque nuit. Le même chaque jour qui me hantait tel une maison avec ses fantômes narquois. Je déglutis difficilement, m'asseyant au bord de mon lit en cadrant ma respiration haletante. Il fallait que je fuis cet endroit, il ne m'était point destiné mais je savais ce qui m'arriverais si je quittais ce château. La mort serait alors là pour moi, je le sais. Bien que je sois encore sous le choc de mon cauchemar, j'essayais de me lever. Il fallait que je prenne l'air, que je me vide l'esprit mais je savais qu'il me serais difficile d'arriver à cela, c'était tout bonnement impossible. Ils me manquaient étrangement beaucoup et pourtant j'avais la sensation qu'ils n'étaient pas loin, qu'ils allaient venir me chercher, un jour ou l'autre. Il fallait que je vois Emeric pour le moment. Il était le seul qui me remonte le moral à un point très fort. Le faite de voir une personne comme moi et de partager des choses avec elle, me redonne le sourire. Emeric est un garçon formidable, je peux lui dire tout et n'importe quoi qu'il le prendra toujours dans un bon sens et qu'il m'aide à surmonter le tout.

Je sortais de ma chambre que je considère comme cellule car le mot est le plus approprié dans un endroit pareille et je partais en direction de sa chambre mais je remarqua très vite que le jeune homme n'était pas là. Deuxième possibilité où il pouvais être : La place de l'horloge, c'était un peu comme son endroit préféré. Sortant du château sous les regards de Jane et Chelsea qui me demandaient automatiquement où j'allais, je soupirais en retenant ma respiration pour ne pas être attirer par le sang si intense des humains autour de moi. Il m'était encore difficile d'admettre que j'en avais besoin, de ce sang si délicieux qui m'appelait mais je me débrouillais pour éviter toute tentation. Arrivant à l'autre bout de la place, je l'apercevais déjà. Il était assis sur les marches tranquillement, ne faisant pas attention aux gens qui l'observaient à cause de sa beauté fatal. J'aime Emeric, plus qu'un ami, j'en suis certaine mais je n'ai que trois ans alors je ne peux considérer cet amour que comme amicale, du moins pour le moment. Je soupirais et approchais de ma démarche élégante et sans bruitage. Il releva la tête et me sourit.
    he says « Nessie. Tout va bien? »
    i said « Comment se fait-il que tu saches toujours quand... quelque chose tourne pas rond ? Pardon, je devrais plutôt dire : Bonsoir Emeric, je vais assez bien et vous? Il a fait très beau n'es-ce pas? »
J'eus un sourire qui se dessinait doucement sur mon visage. Mes yeux, ceux de ma mère, brillaient avec le reflets de la lune. Malgré que nous soyons le soir, tant de personnes inconnus se baladaient dans les ruelles les plus sombres de la ville. Je n'ai à dire qu'une chose, ils ne devraient surtout pas faire cela, c'est... dangereux pour leur vie.
    i said « Eh bien, tu sembles surpris en tout cas. Je... suis désolé, j'ai encore fait ce cauchemar affreux qui me hante depuis une semaine. »
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MessageSujet: Re: « My real time is you. » Taken.   « My real time is you. »  Taken. EmptyDim 13 Déc - 18:05

    « Comment se fait-il que tu saches toujours quand... quelque chose tourne pas rond ? Pardon, je devrais plutôt dire : Bonsoir Emeric, je vais assez bien et vous? Il a fait très beau n'es-ce pas? »


En entendant cette phrase, le doux regard d'Emeric se fit rieur mais ses lèvres ne suivirent pas le mouvement. Elles gardaient obstinément le coin légèrement étiré, cachant là, le sourire. Sourire excluant toute réponse, et laissant le mystère entier. En sa compagnie, nombreuses étaient les choses qui n'avaient pas besoin d'être parlées, pour être comprises. En un seul regard - parfois - ils étaient capable de se comprendre. Là, encore, il avait senti que quelque chose la tracassait. Comment se faisait-il? Peut-être parce qu'il attachait tellement d'importance à tout ce qui se rapportait à elle, qu'il devenait capable de toute traduction rien qu'en observant les traits de son visage. Les petites mimiques qui passent inaperçues aux yeux des autres lui apparaissaient clair comme le soleil. De discrètes rides au milieu du front lui parlaient bien plus que si elle lui parlait elle-même. Cependant, il lui semblait que son regard n'avait jamais été aussi beau. Il possédait ce petit il-ne-savait-quoi qui la distinguait des autres vampires. Comment prétendre que les Volturi ne sont pas des êtres magnifiques? La bouche d'Emeric mentirait, en prétendant une telle chose. Comme il mentirait en affirmant qu'être regardé ainsi ne l'intimidait pas. De qui pouvait-elle le tenir? Une chose était certaine, l'un de ses deux parents était différent, tant par l'intensité avec laquelle ces yeux vous regardez que par leur couleur. Ce néant, dans lequel il se plaisait à se perdre, et pour lequel il ferait tout pour le voir briller une nouvelle fois chaque jour. Si encore il n'y avait que ça... Il n'avait pas à se cacher une chose pareille: Nessie était magnifique. Mais qui peut se dire surpris par un tel constat?

    « Eh bien, tu sembles surpris en tout cas. Je... suis désolé, j'ai encore fait ce cauchemar affreux qui me hante depuis une semaine. »


Son cauchemar? Encore? A chaque fois qu'ils se voyait, Nessie lui en parlait. Elle n'était jamais entrée dans le détail de ce rêve, et il n'avait jamais souhaité le lui demander jusqu'à aujourd'hui. Plus par désir de ne pas la bouleverser que par manque d'intérêt. Savoir ce qui l'effrayait l'intéressait au plus haut point, car désireux de l'aider à s'en débarasser. Son don ne lui permettait pas de lui conter son rêve sans parler. Il approcha sa grande silhouette du corps frêle de sa camarade, et passa une main affectueuse mais brève sur sa joue.

    « Et si tu me le racontais, ce cauchemar? »


Sa main, qui se voulait réconfortante, passa autour de ses épaules et l'attira à lui. Sans aucunes arrières pensées, si ce n'est de jouer le rôle d'ami qui lui avait été attribué. Un tel tableau ne pouvait que lui rappeler des souvenirs. Un plus précisément, en fait. Qui avait eu lieu du temps où Emeric était encore libre de sa vie qu'il partageait avec Melton, un vampire nomade. Aussi incroyable que cela puisse paraître, jamais il n'a été forcé à goûter au sang humain. La règle imposée était simple: « Suis-moi, mais débrouilles-toi. » Tandis que l'inconnu partait à la chasse, le jeune garçon tentait tant bien que mal de se nourrir de ce qui passait sous sa main: rongeurs, oiseaux, et tous les autres petits animaux. L'odeur que dégageait le vampire en revenant pouvait bien l'attirer, le jeune Maxwayne se refusait toute tentation. La scène de sa naissance était encore bien trop présente en lui pour qu'il n'arrive à se nourrir de ce liquide humain. Le bel hybride n'avait craqué qu'une seule fois. Et cette fois-ci figurait parmi les moments les plus horribles de ses cinq années d'existence. Il en fut tellement effondré que le nomade se sentit dans le devoir de revêtir une oreille attentive, dans l'espoir seul de le calmer. L'anecdote était sortie par intervalles irrégulières et parfois inaudibles. Mais l'essentil était comprit. Comment expliquer le bien fou que ce lui avait fait, que de se confier à une personne extérieure à nos propres problèmes? On se sent comprit, et non pas plaint. Rien n'est plus humiliant que d'être plaint dans ses propres problèmes. Un sous-entendu signifiant que l'on n'arrive pas à relever la tête, et que l'on se laisse achever par les aléas de notre existence. Inacceptable.
Son esprit s'évada le temps de quelques rapides secondes, avant de se déposer non loin de la place de l'horloge. A Volterra. Lieu magnifique qui cache néanmoins des choses terribles. Combien d'humains visitant le palais en compagnie d'un guide qu'ils pensent tout à fait normal? Combien de hurlements venus le tourmenter après qu'ils aient comprit ce qui se tramait? Compter serait impossible, et le coeur n'y était pas. Son attention fut à nouveau pleinement occupée par son amie, pressée doucement contre lui. Emeric se mit alors à songer à la famille qui l'attendait, à elle. Des parents et autres membres qui l'aiment et qui ne désirent qu'une chose: son retour. Parce qu'une fois évadé, que deviendrait-il, lui? Rien, si ce n'est une ombre ambulante voyageant ici et là, sans autre but que son plaisir personnel. Mais n'était-ce déjà pas mal? Il avait un but, et sans cela il n'est possible pour personne d'avancer. Aurait-il le courage de laisser Nessie derrière lui ça, c'était autre chose. Pour le moment, ne penser à rien. A rien, sauf à elle.
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Renesmée C. Cullen
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MessageSujet: Re: « My real time is you. » Taken.   « My real time is you. »  Taken. EmptyDim 13 Déc - 19:51

    he says « Et si tu me le racontais, ce cauchemar? »
Il m'était difficile de conter des choses déjà dure à voir dans ma tête. Je me rappelais alors que mon don servirait surement à assouvir ma souffrance et ma peur de raconter à Emeric tout cela. J'inspirais profondément en le sentant près de moi. Je soupirais et fermais les yeux un instant essayant de trouver une image merveilleuse parmi toutes celles défilants dans mon esprit. Il fallait que je me reprenne. Je suis la fille de Edward Cullen et Bella Swan après tout, je ne suis pas... n'importe qui. Je relevais mon regard vers Emeric qui semblait pensif.
    i said « Il me sera surement difficile de te le raconter alors... veux-tu bien que j'utilise mon don pour cela? Il me sera plus facile de surmonter mes sentiments. »
Mon don est si extraordinaire que j'en oublie même son existence. Il est si extraordinaire de pouvoir montrer aux autres ce que nous nous avons vus un jour ou même il y a quelques heures. Je savais qu'user de mon don ne serait pas un crime loin de là, cela me permettrait de savoir encore mieux le maitriser ou mieux savoir contrôler mes émotions. Je me rappelais ce jour magnifique où j'ai rencontré ma mère. Je la demandais tout le temps, chaque minute, chaque heure qui passait était surement une horreur de passer ce temps là avec la petite chipie que j'étais à quelques jours. Cependant, je redoublais d'excitation en voyant les visages pleins de stupeur quand ma mère franchit le seuil de l'entrée et que mes yeux la fixaient avec bonheur. Cet instant était si merveilleux, si magique pour moi du moins. Ma mère s'approchait petit à petit et moi je n'hésita pas à foncer dans ses bras. J'aimais être près de ma mère. Son contact me réchauffait le coeur. Et puis j'avais usée de mon don pour lui montrer le premier souvenir que j'avais d'elle. Je sentais la tension des autres malgré que je sois encore petite. Revenant à la réalité aussi vite que j'étais reparti dans mes souvenirs, je levais les yeux vers le ciel étoilé et commençais à explorer chacune des constellations qui s'offraient à notre vision. Que j'aimais regarder les étoiles au clair de lune avec un ami, que j'aimais la présence de Emeric. Celle-ci me rappelais Jacob qui me manquais atrocement comme tout les autres d'ailleurs. Je me tournais alors vers Emeric en le fixant de mes yeux et tins ses mains dans les miennes. Le simple contact déclencha le souvenir de cette nuit horrible que j'avais passé. J'attendis que le souvenir se fut arrêter pour l'interroger du regard avant de me tourner vers les portes de l'horloge qui étaient close.
    i said « Je pense... que nous devrions essayer de fuir Volterra et je pense que tu devrais venir avec moi mais il nous faut un plan, un bon plan de ruse pour les éviter et qu'ils ne découvrent la supercherie que très tard après notre fuite. Tu.. serais d'accord ? »
Oui je voulais quitter Volterra et retrouver les miens, le plus vite possible serait le mieux car à ce moment là, j'arrêterais de faire ce cauchemar aussi effrayant soit-il.

[je t'avouerais que c'est très médiocre :/]
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MessageSujet: Re: « My real time is you. » Taken.   « My real time is you. »  Taken. EmptyDim 13 Déc - 21:34

    « Il me sera surement difficile de te le raconter alors... veux-tu bien que j'utilise mon don pour cela? Il me sera plus facile de surmonter mes sentiments. »


Sa réponse était évidente. De plus, que n'aurait-il pas fait pour un contact d'elle? Il lui laissa le temps nécessaire pour se décider, et se lancer. Maintenant qu'il avait obtenu son accord pour lui raconter son cauchemar, il n'avait pas à exiger, et encore moins à la bousculer. Il suivit son regard lorsque celui-ci se leva vers les étoiles, et observa avec elle les constellations ornant le ciel. Avec l'aube, la nuit était le moment qu'il préférait durant ces vingt-quatre heures. Un instant où la nature seule dominait, et durant lequel Emeric était convaincu que rien ne pourrait lui arriver. Leur arriver. La preuve à cet instant précis. Les étoiles veillaient sur eux, et ils étaient ensemble. Quel mal pouvait les atteindre dans de pareilles circonstances?
Par la suite, les mains de Nessie vinrent rencontrer les siennes. Rester maître de soi en toutes occasions se révèlent bien plus compliqué qu'il ne l'avait pensé. Il est difficile de ne pas esquisser un frisson, de ne pas se raidir face au contact de sa peau. Le bel hybride fit néanmoins comme si rien ne venait troubler son équilibre, et referma doucement ses doigts.

    Nessie courait à travers une forêt. A la voir, celle-ci lui semble familière. Un bruissement la fait sursauter. Un cri perçant retentit, et une onde électrique passa sur son corps, faisant frissonner son corps aux aguets. Une inspiration profonde. Elle reprent sa course, telle une biche fuyant son chasseur. La peur se lit sur son visage. Elle le cherche... Lui. Ainsi que Jake ? Et ses parents. Elle est seule contre eux tous, ils étaient au grand complet. Leurs yeux rouges paraissaient la transperçer lentement alors que ses tremblements redoublaient d'intensité. NESSIE! Cours, allez, cours... Il faut que cela cesse. Tout sauf cette éternité à leurs côtés. Cours... Ils tentèrent de l'attraper, en vain car elle évitait leur attaque. Mais cette fois, Alec et Demetri s'y mirent à deux et elle ne put échapper à leurs doigts fermes me tenant par les bras. Aro s'approchait d'elle, posant ses mains sur ses tempes. Ne la touche pas! Non pas ça... Pitié... Pire mais pas ça...


Ses yeux couleur néant s'ouvrir brusquement. Les palpitations de son coeur s'étaient emballées, et il paraissait essoufflé, comme s'il avait vécut ce mauvais rêve avec elle. Comprennant mieux ses inquiétudes récentes, il exerça une légère pression de ses doigts sur ses mains. Comment lui ravir ce songe, afin qu'elle se sente plus légère? A cet instant précis, Emeric aurait tout fait pour qu'elle n'eut jamais fait ce rêve. Dû-t-il se vendre corps et âme à Aro.

    « Je pense... que nous devrions essayer de fuir Volterra et je pense que tu devrais venir avec moi mais il nous faut un plan, un bon plan de ruse pour les éviter et qu'ils ne découvrent la supercherie que très tard après notre fuite. Tu.. serais d'accord ? »


A cette demande, il la considéra un instant avec une extrême attention. Son coeur parlait pour lui, mais ses lèvres se refusèrent à suivre le mouvement. Dans son rêve, il avait vu qu'elle l'avait cherché. Pas seulement lui... Mais également l'autre. Etait-ce pour le revoir qu'elle était si pressée à s'échapper? Lui manquait-elle? ... L'aimait-elle? Autant de questions qui venaient à nouveau torturer son esprit en doute, et en absence de réponses. Son regard perdit de son éclat, et trouva un point fixe quelque part par terre, tandis qu'il lâchait lentement ses mains. Avez-vous déjà ressenti une telle chose? L'impression était nouvelle et d'une intensité telle qu'il peinait à la définir. Lentement, il se mit de profil et croisa ses bras contre sa poitrine. Son visage d'ange reprit sa dureté habituelle tandis qu'il reprennait la parole.

    « Réponds moi franchement Renesmée. Tu l'aimes? »


La personne visée n'était pas citée, mais il savait qu'elle le reconnaîtrait. Depuis le temps qu'elle lui parlait de lui, elle ne pouvait pas jouer l'ignorante. Son désir d'évasion était encré en lui, mais il souhaitait d'abord des réponses à ses questions. Juste histoire d'être... Fixé, dirons-nous. Si sa réponse était positive, et bien. Il ferait tout pour l'aider à s'enfuir, et aviserait son cas par la suite. Soit il la suivrait pour ensuite la quitter et vivre sa vie, soit il resterait ici, à Volturra. Personne ne l'attendait à la sortie, les choix qui s'offraient à lui étaient donc plus conséquents. Malgré lui.
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MessageSujet: Re: « My real time is you. » Taken.   « My real time is you. »  Taken. Empty

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